Qu'il naisse un mage de l'union impie de Gellius et de sa mère, et qu'il apprenne à l'école des Perses l'art des aruspices ! puisque, s'il faut en croire l'impie superstition des Perses, c'est d'une mère et de son fils que naît le mage [5] dont les hymnes sont agréables aux dieux et qui fait fondre dans la flamme la graisse des victimes.