Gellius est mince : comment ne serait-il pas mince ? Il a une mère si bonne et si solide, une soeur si jolie, un si bon oncle ; il compte dans sa famille tant de jeunes parentes ! Comment cesserait-il d'être maigre ? [5] Même s'il ne touchait qu'à ce qu'il lui est interdit de toucher, on devinerait facilement la cause d'une telle maigreur.