O la plaisante, la drôle d'aventure, Caton ! Elle vaut que tu l'entendes et que tu éclates de rire ! Ris donc, Caton, pour l'amour de moi ; car c'est aussi par trop plaisant et par trop drôle. [5] Je viens de surprendre- un gosse qui *s'escrimait contre* une jeune fille. Et moi, - que Dioné me le pardonne ! - *j'ai percé le moutard d'un trait*.