Souvent j'ai cherché dans mon esprit par quel moyen je pourrais te faire parvenir des vers du descendant de Battus, pour calmer ton courroux et soustraire ma tête aux traits vengeurs dont tu ne cesses de la menacer ; [5] mais je vois à présent que mes efforts sont vains et que mes prières sont vaines, ô Gellius : lance donc tes traits, mon manteau suffira pour m'en garantir, mais les miens te perceront d'outre en outre et ils te mettront au supplice.